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The Mobilization of Bank Debts under the Tunisian Law

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Academic year: 2023

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Cela consacre la banque universelle (5), qui peut réaliser, sans distinction ni limitation, diverses opérations bancaires (6). Par mobilisation de prêts bancaires, nous entendons l'opération par laquelle une banque obtient auprès d'une autre banque, banque centrale ou tout autre agent économique, la disponibilité de fonds avancés pour le financement qu'elle a fourni(14). 490 pages 1 ; il définit la mobilisation en général comme suit : « une technique qui permet à un créancier d'anticiper la disponibilité de ses créances en recevant immédiatement le montant en échange de ces créances.

D'un point de vue juridique, et c'est l'objet de l'étude, il doit exister un mécanisme juridique qui donne à l'acheteur de l'effet - agence mobilisatrice - une totale certitude quant au transfert de la créance à son profit(17). Les techniques de mobilisation remontent en droit tunisien à la création de la Banque centrale de Tunisie (B.C.T.), qui réescomptait(20) les effets transférés par les banques créancières(21). Mais le critère juridique est authentique à la logique de l’opération et au régime juridique applicable, qu’il s’agisse de logique boursière ou boursière. En effet, le transfert de créances commerciales (23), le titre de crédit (24) et la mise en pension (25) sont des techniques qui permettent un transfert de créances soumis aux normes de change et qui nécessitent une manipulation physique du titre papier (26). (I) La titrisation est en revanche une nouvelle technique de mobilisation de crédits selon un schéma boursier (II).

Sur la distinction entre mobilisation par transfert de liquidité (marché monétaire) et mobilisation par création de liquidité P.Grivet, op.cit., p. 23) Loi n° 2000-92 du 31 octobre 2000 relative aux actes de cession ou de nantissement de créances professionnelles et à la mobilisation des crédits y afférents.

Les opérations de mobilisation dérivées de l'escompte

  • Le réescompte
  • Le titre de mobilisation des crédits rattachés aux créances professionnelles
  • Le titre de crédit
  • La mobilisation des crédits par titrisation des créances

La technique du réescompte constitue l'une des principales ressources financières des banques depuis la création de la B.C.T. En poursuivant la démarche, nous pouvons le prouver : au début de l'opération de réescompte, un escompte a été préalablement réalisé par le banquier du papier commercial. La pension porte donc sur d'autres valeurs mobilières, telles que des certificats d'investissement, des actions et des obligations.

Si le créancier ne peut pas rembourser l'avance à la fin de la pension, le créancier peut disposer librement des obligations.(45). Quant à son effet à l'égard des tiers, l'article 7 se contente de prévoir que les opérations de pension « ne sont opposables qu'aux tiers à compter de la délivrance des titres et des billets de trésorerie. Il précise donc dans son article premier que les titres sont livrés à la date de leur inscription en compte de l'acheteur auprès de la personne émettrice ou d'un intermédiaire agréé.

Inspirée de la loi française dite loi Dailly(50), elle permet à un créancier le « cédant » de céder en termes simples ses créances professionnelles ainsi que les garants qui sont complices d'une personne dite le « cessionnaire » qui est nécessairement un établissement de crédit(51). Cette sécurité de mobilisation a été définie au § 1, sous-section 3, dans la loi n° 2000-92 comme « un billet à ordre ou autre titre admis sur un marché réglementé et utilisé pour mobiliser les créances professionnelles encaissées dans le billet. Cession et nantissement auprès d'un banquier des créances professionnelles » D. 53) Article 4 de la loi 2000-92 ; il convient de noter à ce propos que le législateur a déterminé quelles personnes peuvent être acquéreurs du titre avant que le mode de transfert ne soit précisé.

La même préoccupation semble dicter la promulgation de la loi relative au titre de crédit. En vertu de l'article 1er de ladite loi, la garantie de crédit est une garantie signée par une personne physique ou morale bénéficiaire d'un crédit, précisant tous les montants qui doivent être remboursés à l'établissement créancier(61). C'est un moyen de mobilisation interbancaire, l'aval ne peut être qu'en faveur de la B.C.T. ou un établissement de crédit.

Il est à noter que la mobilisation est plus facile dans le cadre de la loi 2000-52 par rapport à celle prévue par la loi 2000-92, qui nécessite un accord entre les parties concernées ainsi que l'émission d'un document de mobilisation et la remise finale du billet. En effet, une exception est faite pour les fraudes commises et les abus manifestes(68), le souscripteur ne pouvant opposer aucune exception au détenteur du titre(69).

Le mécanisme de la mobilisation des crédits par titrisation Les établissements de crédit peuvent par la titrisation améliorer leur ratio

La cession des créances

Terray a exclu de qualifier le titre financier ; pour tenter de qualifier le bordereau, il affirme qu'il semble plus juste de retenir la qualification « d'acte formel, par la délivrance duquel est créé un contrat de cession de créances ». Le législateur, satisfait de la condition générale sur la nature de la dette titrisée, sans définir la nature du crédit titrisé lui-même, a en revanche imposé une condition sur la maturité. En effet, le transfert des créances au F.C.C ne s'applique qu'aux créances dont la durée restant à courir jusqu'à l'échéance du paiement dépasse 3 ans (80).

Cette condition témoigne de la volonté de la législation de limiter la titrisation aux prêts à moyen et long terme. Cette préoccupation est tout à fait compréhensible, car outre la tendance prudente du législateur à limiter les risques des entreprises, dont l'effet est encore mesurable, ce sont précisément les créances à moyen et long terme qui pèsent sur la balance des créanciers (81 ). . Ce sont les débats parlementaires qui ont révélé la volonté d'adopter le concept classique de titrisation, destiné principalement aux prêts hypothécaires(82).

La remise du récépissé entraîne de plein droit la cession de ces débiteurs et le transfert des sûretés garantissant chaque débiteur à compter de la date portée sur le récépissé. Cela s'applique tant aux parties qu'à l'égard des tiers(85). de la Bruslerie, Analyse financière et risque de crédit, Dunod, Paris 1999, pp. Aucune formalité n'est prévue pour informer ce dernier, mais les conséquences de ce transfert de dette ne sont pas précisées, semble-t-il, se référant à la nature de l'opération visant à protéger le banquier contre tout risque, que ce dernier n'est pas tenu de garantir le succès. finalisation du transfert (86).

Ainsi, les débiteurs cédés seront isolés et totalement détachés du patrimoine du cédant ; l’isolement doit se refléter en termes comptables et financiers.

Les parties intervenants dans la titrisation

Il peut enfin être cédant de créances au sens de l'article 35 de cette loi. (90) Le législateur était disposé à admettre comme dépositaires des établissements ayant une activité financière, mais n'ayant pas le statut bancaire. En se référant à d'autres expériences, il est possible d'admettre le fonds de dépôts et de consignations comme dépositaire(91). La constitution et la liquidation du F.C.C sont réalisées par le gérant et la société dépositaire.

En partageant la tâche de constitution et de liquidation du F.C.C entre le gestionnaire et le dépositaire, alors que le premier était sous le contrôle du second, le législateur a voulu assurer une gestion à « double contrôle »(92). Elle procède en coopération avec la société dépositaire à la constitution de la F.C.C(94) et la représente auprès des tiers. La société de gestion, comme son nom l'indique, gère le fonds et assure le fonctionnement de son activité(95).

Elle acquiert les créances et émet des parts du fonds et reçoit le produit du remboursement des créances cédées au fonds. Elle gère la gestion des liquidités en investissant les liquidités disponibles et en attribuant le produit aux porteurs de parts. Tant la création du fonds commun de dette que sa liquidation anticipée sont soumises à l'approbation du Conseil des marchés financiers.

L'agrément peut être retiré soit à la demande du bénéficiaire de l'agrément, soit à l'initiative du Conseil du Marché Financier. Le fonds est régi par le principe de spécialité, son objet unique est l'acquisition de créances et l'émission d'actions représentatives de ces créances, qu'il ne peut céder qu'en cas de liquidation.(96).

Le recouvrement des créances titrisées

Les propriétaires de parts immobilières disposent de droits monétaires qu'ils exercent sur la fortune du fonds, c'est-à-dire sur le capital et les intérêts conformément au règlement du fonds. Les actions peuvent être « spéciales, qui supportent le risque de non-paiement des créances par le débiteur » (102) et dont les bénéfices ne sont distribués qu'après la distribution des bénéfices des actions ordinaires. D'une manière générale, le mode de répartition des fonds entre les porteurs doit être convenu et précisé dans le règlement du fonds.

Il est possible de distribuer périodiquement tous les actifs après remboursement de certaines dettes, ou de reporter la distribution de tous les actifs jusqu'à la liquidation du fonds. Dans ce cas, seuls les fonds d'intérêts et de revenus sont distribués périodiquement (103). Il convient de mentionner à cet égard que le titulaire n'est responsable des dettes du fonds qu'à hauteur de la valeur des actions qu'il possède et proportionnellement à sa part (104). Le recouvrement des créances affectées au fonds, selon les termes de l'article 42 de la loi 2001-83, est confié à l'établissement prêteur, c'est-à-dire la banque ayant déjà accordé le prêt, première étape de la séquence des opérations de titrisation.

Dans ce cas, le débiteur cédé doit être informé par un processus qui laisse une trace écrite, et ce pour se libérer de la banque. 35 de la loi 2001-83 ; ces actions ne peuvent être acquises par des personnes physiques ou des sociétés à des fins de placement collectif. Peltier(108) est une technique de mobilisation qui consiste à transférer les risques de l'établissement alloueur dans le but de réduire son bilan, ce qui implique une sortie définitive des débiteurs de son actif.

A en juger par son efficacité, on peut conclure que, étant une technique de conversion de dettes en titres(110), la titrisation se distingue des autres techniques de mobilisation basées sur l'incorporation de dettes issues de titres négociables (111). soumis à une logique boursière, il répond ainsi aux besoins du marché financier et satisfait l'envie des. dématérialisation pour ressentir un désir de plus en plus satisfait. Cependant, cette technique permet de « commercialiser les risques ». 110) Considérant la spécificité de la titrisation qui traduit les créances transférées au fonds en valeurs mobilières, J. En effet, la titrisation est supposée être l'une des causes de la crise de 2008, car elle a permis la mobilisation de prêts hypothécaires à risque élevé (113). . de Servigny et al., Risque de crédit, avant-propos Ch.

لالخ نماض ةنوؤلماةلايبمكلا ص

لماعأ ةعوممج نمض

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ينيقوقلحا تاءاقل ةعوممج نمض

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ديدجتلاو ديلقتلا ينب ةيراجتلا قارولأا

يعمالجا شرنلا زكرم

ةيملاسلإا فراصلما في ضرقلا دنس دماتعا

نمضددع ينيقوقلحا تاءاقل ةعوممج

ديلقتلا ينب ةيراجتلا قارولأا

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