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CHAPITRE V

CONCLUSION ET IMPLICATION

A. Conclusion

Cette recherche concerne l'identification et la description des stratégies

d'apprentissage utilisées par les apprenants de langue des trois universités

majeurs enseignant le Français Langue Etrangère (FLE). Compte-tenu que

la plupart de stratégies d'apprentissage sont non observables, la seule façon

de savoir si les étudiants utilisent telles ou telles stratégies d'apprentissage est par

leur questionner (par l’interview et par le sondage), même si certains stratégies

peuvent être associés à un comportement observable.

Le résultat de la recherche montre que les étudiants choisissent et utilisent

les stratégies d’apprentissage selon les situations et les contextes que l’on peut

décrire comme suivant:

1. Stratégies métacognitives exercées par des apprenants

Selon les données de l’enquête, moins d’une moitié des répondants exercent

occasionnellement les activités de planification. Nous pouvons constater que

certains apprenants pensent à l’importance du but, de la planification, du progrès,

ou de la fin de ce processus d’apprentissage alors que d’autres n’y pensent pas.

Les activités et le comportement planifié se réalisent éventuellement avec des

intensités et des modifications différentes. certains croient qu’il vaux mieux de

confier la planification et l’organisation de leur apprentissage à l’enseignant ou à

l’établissement qui leur offrent un programme bien planifié depuis le début

(2)

Les données montrent également que certains répondants ne se comportent pas

d’une façon autonome. Plusieurs indicateurs prouvent ce phénomène. 46% de

répondants prêtent attention à l’organisation d’apprentissage. 55% de répondants

font l’autoévaluation. Il s’explique par l’intensité des exercices donnés et les

examens qui poussent les étudiants à se préparer et à faire une auto-évaluation

pour ne pas avoir de mauvais résultats.

2. Stratégies cognitives exercée par des étudiants

Plus d’une moitié de répondants (65%) préfèrent utiliser ou appliquer de divers

technique de mémorisation / mnémonique. C’est un comportement auquel

plusieurs autres stratégies contribuent et correspondent telle que la répétition, la

révision, la consultation d’un dictionnaire, la prise des notes, conceptualiser les

idées etc. A cet égard, les étudiants appliquent plusieurs stratégies afin de

mémoriser les matières ou les leçons au cours d’apprentissage du français. Selon

certains bons apprenants, plusieurs activités peuvent prendre effet telles que la

révision, la prise des notes pour mémoriser de nouvelles leçons. Donc, plusieurs

stratégies comme le groupement, la répétition et la révision sont l’ensemble de

stratégie préférée par les étudiants pour retenir de nouveaux mots et de nouvelles

leçons.

Nous pouvons relier ce phénomène à la situation ou à la condition

d’apprentissage. Les étudiants sont plutôt restés attendre la suite d’une instruction

et les explications d’enseignant que de se préoccuper de matières

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notes. En revanche, il est toujours possible de discuter ou de travailler de façon

plus active. Il est alors admissible que la passivité d’apprenants implique la

stratégie sociale pour comprendre ou pour connaitre une nouvelle chose. Cette

caractéristique d’apprenant est confirmée également par de bons apprenants

interviewés.

D’autres techniques considérées comme stratégie cognitives sont l’action

de traduire et la périphrase. Ces stratégies sont confirmées successivement par un

faible nombre (27% et 55%) de répondants qui ont toujours exercées les deux

actions. C’est probablement que l’action de traduire permet aux étudiants

d’employer la première langue ou la langue seconde pour faire des comparaisons

interlinguales significatives. Ils utilisent un mot ou un élément de la langue qu’ils

connaissent pour produire un énoncé. Ils suppléent au manque de vocabulaire par

la circonlocution de la part de l’interlocuteur, ils choisissent d’autres mots ou

d’autres phrases de la langue cible pour réaliser l’acte de communication. Il arrive

toute fois que ces liens sont considérés comme une stratégie compensatoire parce

que les apprenants ont peu d’expérience en français et en effet ils ne cherchent

que pour une signification d’un énoncé.

3. Stratégies socio-affectives exercées par des étudiants

Il s’agit de l’intensité qu’occupent les apprenants en ce qui concerne l’opportunité

d’interagir entre eux, avec l’apprenant, et avec le locuteur natif en français. On

trouve que les étudiants ne font ni clarification ni vérification directe à leur

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notamment il s’explique par la difficulté de la langue cible et par la simplicité de

consulter la référence telle que le dictionnaire, l’encyclopédie, la grammaire, par

rapport à se renseigner d’une façon directe. L’occasion de pratiquer la langue

cible dans un contexte d’apprentissage pour les apprenants est, en général,

considérée comme une tâche difficile à accomplir plutôt que la stratégie ou le

moyen de s’exercer la langue cible. Alors que pour certains bons apprenants c’est

justement une des stratégies d’apprentissage. Ce n’est qu’un petit nombre de

répondant (15%) qui cherchent à utiliser cette occasion pour faire des contacts à la

fois pour se renseigner.

Le problème du control d’émotion reste toujours un problème significatif

chez beaucoup d’apprenant. on trouve seulement 38% de répondants qui ont

arrivent à faire le control d’émotion au cours de la prise de parole devant le public

ou avec des inconnus. Nous pouvons constater que les apprenants sont entravés

par un problème d’émotion dans l’exécution de la prise de parole. L’anxiété, la

peur, et les attitudes sont trouvés dans beaucoup de recherches comme des

facteurs qui contraignent l’atteinte du but dans l’apprentissage de langue. Le

control d’émotion fait partie de la stratégie socio-affective qui s’attache d’abord à

sa relation avec quelqu’un d’autres et ensuite à sa propre prédisposition

psychologique telle que les attitudes, les motivations, la confiance en soi. C’est

une stratégie normalement utilisée par de bons apprenants pour éliminer son

angoisse lors de l’exécution d’une prise de parole.

La coopération avec les autres reste toujours une question à poursuivre. Ce

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stratégie socio-affective qui correspond aux activités communicatives dans

lesquelles les étudiants sont engagés et doivent être coopérés dans la pratique de

langue dans le cadre de résoudre son propre problème ou le problème de

quelqu’un d’autre. Ce petit nombre s’explique par le principe de coopération qui

est lié étroitement à l’anxiété de prise de parole.

L’auto-renforcement est une stratégie socio-affective dont l’accent est mis

à l’utilisation des connaissances et des savoirs faire linguistique pour renforcer

l’acquisition de langue cible, tel que la prise de parole, faire du contact avec des

gens, écrire dans le lieu public comme sur le réseau social, écrire une carte de

vœux, voire regarder un film et faire des amis avec des étrangers. 52%

d’étudiants affirment avoir un fort désir de se faire ami avec le locuteur natif du

français. L’extroverti est un autre aspect observable 50% de répondant affirment

qu’ils partagent leur anxiété, et leur problème de l’apprentissage avec leur copain.

Par contre il y a seulement 10% de répondant qui écrit un statut ou un message

ouvert, sur le réseau de Facebook ou tweeter.

4. Les stratégies exercées pour acquérir les quatre compétences langagières chez

de bons apprenants

a. Production orale et prononciation

Les bons apprenants en langues savent ce qu'ils visent. En termes de

pronon-ciation, l'éventail des cibles peut être expliqué par l'intelligibilité mutuelle

qui est le critère principal (stratégie affective: diminuer son anxiété). Les

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apprennent à prononcer en prenant conscient que cette activité physique

n’implique pas seulement des exercices des parties du corps (langue, lèvres,

les cordes vocales, poumons, etc.) mais aussi la stratégie d’apprendre une

langue d’une façon communicative. C’est vraie que certains bons

apprenants mettent au point l'image d'un bon locuteur de la langue

française comme le but d’apprentissage en prononçant parfaitement et

presque sans accent comme le locuteur natif du français, alors que d’autres

voient du perspectif différent qui pensent que la communication est

primordiale. Ce type d’apprenant utilise plutôt une stratégie compensatoire

dans la communication qui préconise le sens et met à côté la forme.

Le mimétisme reste toujours une stratégie cognitive exercée dans la

production orale autre que pour la prononciation. Le mimétisme ou

l’imitation est une stratégie cognitive pour acquérir le savoir faire

linguistique. Il est également utilisé comme une stratégie compensatoire lors

d’une prise de parole en faisant des gestes et du langage du corps. Dans le

cadre d’apprentissage de prononciation les bons apprenants mettent plutôt

l’accent sur ce qu’ils captivent avec leur ouï que ce que dit la théorie

phonétique articulatoire. Cette stratégie cognitive donne l’occasion aux bons

apprenants de faire une liaison entre la parole et sa signification à la fois dans

la vie réelle. Et cela leur permet d’acquérir le savoir parler plus vite que leur

camarade en général. Un autre facteur important qui correspond à ce type

d’exercice est le temps consacré pour vivre dans un milieu francophone ou

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possibilités d'immersion, en interagissant plus avec la culture et la langue

cible, en faisant des amis avec des locuteurs natifs, en chantant une chanson

française, en regardant la télévision ou un film français et en faisant la

lecture des journaux, revues ou des bandes dessinées français. Cette stratégie

socio-affective leur permet d’exercer la fluidité de leur français sans être

entravé par des problèmes affectifs. L'occasion (angl. affordance) devient

donc un avantage pour de bons apprenants. Ils utilisent la stratégie

métacognitive et stratégie social pour réaliser l’interrelation de compétence

langagière: l'écoute, l'orthographe et les caractéristiques non verbales.

b. La compréhension orale (l'écoute) et la compréhension écrite (lecture)

La compréhension orale d'un texte parlé est considérée par les bons

apprenants comme une partie de l’activité communicationnelle. Ils ne se

soucient pas véritablement des erreurs ou des sons qu’ils ne peuvent pas

comprendre. Ils s’engagent à une activité qui est extralinguistique. Ils

utilisent une stratégie compensatoire en percevant des indices non

linguistiques tels que l’environnement et le contexte social ou les indices

culturelles. En même temps, ils se réfèrent à des informations contextuelles

afin de construire des hypothèses sur le sens du document auditif ou écrit.

Les apprenants utilisent également des connaissances schématiques

pour saisir le sens, et cela comprend la connaissance sur la règle ou l’ordre

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est utilisée dans une société donnée, et la connaissance factuelle du sujet

communiqué.

Les bons apprenants utilisent une stratégie métacognitive (planifier

l’exécution d’une tâche langagière) plutôt que la stratégie socio-affective

parce qu’ils pensent souvent que toutes leurs difficultés en CO sont à cause

de leur faible connaissance de la langue cible. Les bons apprenants en

langues prennent en compte de l'importance des possibilités offertes

par l’activité orale lors de l'acquisition de la langue. Dès lors, ils utilisent

des occasions pour regarder la télévision et des films, pour écouter des

locuteurs natifs et pour s’exprimer dans l'environnement, ou pour s’exercer

la compréhension de la langue cible.

Les bons apprenants sont conscients de faire des efforts pour

réorienter l'attention quand ils se concentrent vers l'intonation et vers les

pauses. Ils peuvent écouter les plus grands morceaux de la

langue tels que des phrases et des discours. Ils ont également été en mesure

d'employer une variété de stratégies pour résoudre des problèmes de

décodage et en utilisant des connaissances contextuelles et schématique

ainsi que les connaissances linguistiques pour interpréter le sens.

c. La production écrite et la grammaire

Exprimer les idées d’une façon écrite dans une langue cible semble donc

trop difficile pour ceux dont leur langue maternelle n’a rien à voir avec la

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acquérir le savoir écrire est de travailler sur la grammaire. C’est pour cette

raison que beaucoup d’apprenants emploient une stratégie métacognitive en

préparant leur écriture d’une telle manière et une stratégie cognitive en

retenant les formes des phrases plutôt que la stratégie socio-affective qui

met l’accent sur le contenue de la communication. Lors qu’ils essaient de

mettre en place leur connaissance sur le lieu public comme Facebook, ils

pensent tout de suite à des fautes qu’ils pourront commettre. Dans ce cas-là,

le but communicatif de la production écrite est troublé par une incertitude

grammaticale.

L’anxiété reste toujours un problème dans l’acquisition du

savoir-écrire, même chez les bons apprenants. Cette anxiété est au fait

situationnelle lors que l’exécution se récompense de façon potentielle à un

jugement masqué sous forme de correction de la part de leur enseignant.

Cependant, pour la nécessité de la communication, les bons apprenants

ignorent les fautes ou les erreurs commises. Cette stratégie est utilisée par

une nécessité de faire une communication avec quelqu’un qui ne jugera pas

leur niveau du français. Dans ce cas-là, les bons apprenants exercent une

stratégie socio-affective dont le but primordial est la suppression de

l’angoisse dans la communication.

C’est vrai que planifier un dialogue ou une histoire donnera aux

apprenants le temps de réfléchir et donc d'améliorer la confiance et la

fluidité. Néanmoins, les apprenants se servent normalement de leurs

(10)

besoin communicatif. Quant à la tchatche sur internet avec des inconnues,

cela leur permettra de s’exprimer plus librement et plus couramment. Cette

stratégie, développée intentionnellement par les bons apprenants, poussée

par l’enthousiasme d’apprendre plus loin ce qui leur semble évidente. Il y a

des moments où les bons apprenants dont le niveau du français ne supporte

pas la compréhension, ignorent ce défaut et finit par le malentendu.

Cependant, ce contrecoup leur semble plus acceptable qu’un jugement

moral. À une extrémité du continuum théorique, l'écriture est considérée

comme une extension de la grammaire et se concentre donc sur la

précision. À l'autre extrémité, la communication du sens est primordiale, la

précision d'un problème est secondaire.

Les apprenants prennent tout à fait en compte que la lecture les

facilite à écrire plus efficacement. Chaque fois qu'ils sont demandés

d’accomplir une tâche d'écrire le premier pas serait mis à la bibliothèque ou

sur l’internet pour la préparation. Pour l'une des répondants, se référer

à l'internet était indispensable car elle possede certains sites Web et

publications à consulter, et ce serait le cas où sa préparation à écrire

commence. Tandis que ceux qui aime lire, la lecture ne sert pas seulement

à les aider à produire des idées avant de commencer à écrire, mais aussi lors

qu’ils se trouvaient embrouillant à mi-tâche, ils reviennent encore à la

lecture, pas seulement une fois, mais autant de fois que nécessaire.

Un nombre de vocabulaire approprié est un outil essentiel pour

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répondants est particulièrement consciente de la façon dont la lecture l'a

aidée à construire les bases nécessaires pour exprimer ses idées par écrit.

Elle se sert d’un outil pour retenir des mots et la façon elle peut s’en servir.

C’est parce qu'elle ne voulait pas laisser au hasard. Lors de la lecture,

elle prend des notes de nouveaux mots dans un cahier ou une carte. Ensuite,

elle fait une définition ou une signification et des exemples d’usage de ces

mots qui seront approprié à ses besoins. C’est ainsi qu’elle retient comment

un mot est utilisé.

Lors de l'écriture elle expérimente l'utilisation du vocabulaire

nouveau, en utilisant le contexte dans lequel elle avait vu comment elle s’en

sert comme un guide. En plus, en utilisant le vocabulaire qu'elle a

trouvé lors de la lecture, elle peut éviter la répétition du même mot courant

sans qu’elle le consulte dans le thésaurus, même si elle n'était pas sûre si

l’usage est correct ou incorrect. Cette mélange-stratégie entre cognitive et

métacognitive est utilisée pour combler la lacune entre le manque de

vocabulaire et le besoin communicatif.

Les bons apprenants sont prêts à négocier les difficultés inhérentes

à l'utilisation de zone d'incertitude. Au fait, ces apprenants vont détourner

celle-ci vers leur avantage, par exemple en l’utilisant dans le cadre du sujet

donné sans qu’ils sachent si c’est correct ou incorrect. Grâce à leur lecture,

ils peuvent enfin identifier l’usage de ce vocabulaire indispensable pour

exprimer efficacement les idées. Cette apprentissage basé sur les essaies et

(12)

étrangère. Une telle méthode d’essaie diminue graduellement l'incertitude

chez les apprenants, cette stratégie peut être développé en même temps que

l’on donne l’occasion pour compenser une tâche lors que l’apprenant n'est

pas prêt à faire face au sujet donné.

Avant de commencer à écrire, les bons apprenants planifient, en

préparant certains mots, des phrases qu’ils vont utiliser dans le contexte

donnés. Une fois, ils rédigent leurs idées, ils révisent leur écriture, en

vérifiant que les idées sont pertinentes pour soutenir les idées principales, et

que le sens est clair. Une fois qu’ils vérifient la forme, on peut les faire

consulter le vocabulaire dans un dictionnaire monolingue illustré comme le

petit Larousse. Ainsi, la stratégie cognitive et compensatoire est servie

d’une façon délicate.

Attention à la forme est identifiée par Rubin (1975) et par

Griffiths (2003a, 2003b) comme typiques des bons apprenants. L’une

des répondants, affirme qu'elle ne laisse pas interférer

avec sa forme tentative de rédiger, une fois qu'elle finit son écriture elle

vérifie la grammaire. Ainsi, les bons apprenants prêtent attention à la

grammaire bien qu'ils ne permettent pas à celle-ci entraver leur

circulation de la pensée et d’exprimer.

C’est le bon apprenant qui utilise le langage réfléchie en dehors de la

classe qui est le plus susceptible d'en bénéficier. Par exemple, en lisant un

journal ou en écrivant des lettres, il ya la possibilité d'acquérir une nouvelle

(13)

renforcement. Ainsi, tout comme Rubin (1975) dit, c'est le bon

apprenant qui crée des occasions d'apprendre et de développer

des compétences plutôt que d'attendre passivement les possibilité d'arriver.

B. Implication dans la classe du français langue étrangère (FLE)

La prononciation est un aspect important de l'apprentissage des langues. C’est

un fait où les apprenants prennent conscient s’ils sont les bons apprenants ou

les apprenants faibles. Comme dans d'autres domaines de l'apprentissage des

langues, les apprenants doivent aborder la tâche d'une manière

appropriée. Cela implique une motivation d'apprendre, une disponibilité à

tenter de de nouveaux sons "exotique", même au risque d'échec embarrassant,

en exploitant les possibilités d'exposition à la langue cible, et en se rendant

compte que la prononciation n'est pas une compétence distinctes mais une

compétence qui se rapporte à tous les autres aspects du

langage d'apprentissage. Par ces moyens, les apprenants vont s'efforcer

d'atteindre leurs objectifs différents dans la prononciation et l'apprentissage

des langues, et d'atteindre leur niveau désiré de l'intelligibilité. La

prononciation acceptable facilite le locuteur à communiquer en leur propre

parole. C’est ce que Rubin (1975) inclut parmi les caractéristiques de bons

apprenants en langues. Il est conseillé de créer une ambiance dans la classe du

français que la prononciation fait partie intégrale d’un apprentissage de langue

sans détourner au profit de l’aspect phonétique dont les apprenants tendent à

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qui est loin d’être cohérent avec celui de la langue cible. L’apprentissage de la

prononciation du français n’est plus désormais isolé des autres compétences

langagières surtout la production et la compréhension orale qui correspondent

véritablement à la réussite de la prononciation. Dans l’autre coté, l’enseignant

fournira autant que possible les occasions (affordances) aux apprenants de

mettre en place leurs matières acquises quoi que ce soit leur niveau. Cette

occasion à son tour doit être un des facteurs qui déterminent la réussite d’un

apprentissage du français. Nous ne pouvons pas juger une “pauvre”

prononciation du point de vue phonétique. L’intelligibilité mutuelle est

fondamentale dans l’enseignement / l’apprentissage du français langue

étrangère compte tenu la modalité des apprenants indonésiens qui sont la

plupart ne connaissent le français qu’à partir qu’ils entrent à l’université.

De surcroit, l'apprentissage par cœur ou «mémoriser» qui est une

stratégie cognitive la plus couramment utilisée chez les apprenants ne doit pas

favoriser un enseignement du type magistrat, qui ne favorise une interaction,

parce que cela ne convient pas dans la classe de langue. Tous le monde dans la

classe du FLE doit consacrer considérablement beaucoup autant de temps à

lire et qu’à écouter des documents afin de permettre aux étudiants de

sensibiliser les sons, l’écriture ou la forme de langue. Cette activité doit être

poursuivie par des exercices de la mise en place des savoir faire langagière qui

exploitent les connaissances lexicales ou grammaticales. L’engagement

d’apprenant en occasions où le français comme une langue cible est utilisé va

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à développer la stratégie socio-affective dans l’apprentissage de langue. La

stratégie cognitive comme la mnémonique est convenue aux tâches qui

correspondent aux expressions ou aux formulations figées (formulaïc). Cette

activité est variée d’une personne à l’autre, c’est ainsi l’enseignant peut créer

une tâche individuelle pour faire travailler les stratégies cognitive des

apprenants.

Cohen et Dörnyei (2002) nous rappellent que les étudiants apprennent

une langue de manière différente, ce qui fonctionne bien pour un apprenant ne

fonctionne pas toujours pour l'autre. Puisque les styles d'apprentissage

semblent une des stratégies d’apprenants qui est relativement stable, les

enseignants ne doivent pas donc s’obliger de faire tant de modification sur cet

aspect d’apprenant. Ils sont recommandés, toutefois, d’adapter les tâches en

classe à ces aspect afin d’optimiser la faculté potentiel d’individu / des

apprenants avec des stratégies utilisées.

Il est possible que le style d'apprentissage puisse varier selon les

individus, mais aussi il peut y avoir des variations de stratégie selon le sexe,

l'âge ou la nationalité. Cela peut signifier, par exemple, que les classes avec

une majorité des garçons peuvent avoir une stratégie différente d'une

classe dominée par des filles, et celles-là peuvent nécessiter différents types

d'activités qui répondent à leurs besoins. La clé pour les enseignants dans la

planification de l'enseignement est la conscience auprès des multiples

manières d’apprentissage. Pour identifier les variétés de styles ou des

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d’évaluation. Les profils de style d’apprenants suggérés par ces outils peuvent

être utilisés comme une base pour la préparation de l’enseignement. A propos

des matériaux, elles doivent être sélectionnés parmi une variété de livres, des

revues, des sites d’internet, des magazines et des journaux, des bandes-vidéos,

des documents, et ainsi de suite, puisque les apprenants ont des intérêts

différents, et répondra plus ou moins favorable à différents stimulus. Les

enseignants devraient aussi se rappeler que l'une des contributions les plus

importantes du concept de styles d'apprentissage à l'enseignement de la

langue est la compréhension qu'il n'y a pas de "meilleure" méthode pour

chaque élève. Bien que les objectifs essentiels des programmes de

langue puissent être semblables pour tous les étudiants, les méthodes

employées doivent être variées pour convenir aux besoins individuels de

tous les étudiants. Les activités routines de la classe devraient être modifiées

de sorte que tous les élèves sont capables d'utiliser leurs styles préférés.

Dans l'intérêt d'accueillir une diversité de styles d'apprentissage, il

est important de connaitre une variété de composantes de l'évaluation et les

options intégrées dans un cours de langue. L'outil d'évaluation peut prendre

plusieurs formes, y compris les recherches régulières, les projets individuels

ou collectifs, les quiz en ligne ou en classe, les exposés oraux, les

essais (rédactions), et les dissertations. Les formats des outils doivent

être appropriés et peuvent inclure de remplir les blancs, questions à choix

multiples (QCM), l'identification des termes, une variété de questions

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conseils et les consignes appropriées, telles que diagrammes, tableaux, ou une

description verbale, pour convenir à une variété de styles. L'interaction

du style d'apprentissage et du style d'enseignants devrait également être

efficace. Par la compréhension des styles d'apprentissage des apprenants, et en

faisant souple leur propres styles d'enseignement, les enseignants peuvent

créer une classe plus sensibles dans leur écoute, leur préparation, leur

présentation et leur interaction. Bien que les professeurs ne puissent pas

devenir tout pour tous les étudiants, ils seront plus efficaces s’ils peuvent

fournir plus de variété et de choix pour réunir les différences styles de leurs

étudiants.

C. Recommandation pour les prochaines recherches

Cette recherche préconise l’identification et la description de stratégies

d’apprentissage. Nous pouvons la considérer comme une étude préliminaire

avant d’aller plus loin aux autres recherches qui implique les autres facteurs et

les autres domaines. Il est recommandé de poursuivre cette recherche en

mettant l’accent sur les aspects critiques des choix et d’utilisation des

stratégies, par exemple en suggérant une problématique en rapport avec les

raisons essentielles et des arrières plans des apprenants.

Deux phases de recherche sont suggérées respectivement. La

première recherche portera sur (1) le dévoilement des raisons

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sur des aspects socio-culturels qui caractérisent des apprenants indonésiens

dans leur choix des stratégies d’apprentissage; (3) la réflexion sur des facteurs

institutionnels tels que le lieu, l’enseignant, le curriculum, les matières etc.

qui pourraient contribuer aux choix des stratégies d’apprentissage de langue.

La deuxième recherche portera sur: (4) la corrélation entre tous les facteurs et

sa contribution au choix des stratégies et le résultat sur l’apprentissage de la

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Referensi

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